J.-Ch. Stasi
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Les paras français du jour J
« Qui ose gagne »*. Cette devise glorieuse et déterminée, qui sera adoptée en 1946 par la demi-brigade de parachutistes SAS*, résume l’état d’esprit des jeunes volontaires qui, à la suite du capitaine Georges Bergé, se mirent à la disposition de la France Libre du général de Gaulle pour devenir les paras du 1er RPIMa*. Car en…
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Jour-J
Ce qu’on ne vous a pas ditVous estimez que ce livre n’est pas spécifiquement « aéro » ? Bingo ! Vous avez gagné. En revanche, qui dit « Jour-J » dit nécessairement « aviation ». Une opération Overlord sans aéronautique, c’eût été mission impossible. En 39 courts chapitres, les auteurs évoquent autant de points méconnus du Débarquement du 6 juin 1944, méconnus mais néanmoins fondamentaux. Par exemple, saviez-vous…
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L’aviation allemande
1919 – 1939On lit parfois que la renaissance de l’aviation militaire allemande résonna comme un coup de tonnerre peu de temps après l’accession au pouvoir d’Adolf Hitler. Si coup de tonnerre il y eut, il ne fut audible que par les moins informés. En effet, nombre d’observateurs éclairés (et non des moindres, tel René Fonck dès 1921)…
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Normandie-Niémen
Dans une adresse en début d’ouvrage, l’auteur mentionne ce propos d’Ilya Ehrenbourg : « Et la Russie n’oubliera jamais que les Français, pilotes du « Normandie », sont venus chez nous avant Stalingrad. » Belle manière de rappeler que cette unité fut créée avant que le sort des armes ne bascule et que le IIIe Reich ne commence à percevoir…
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L’épopée du Normandie-Niémen
Fidèle à ses habitudes, l’éditeur Perrin réédite dans sa collection Tempus, version poche à prix très abordable, le livre de Roland de la Poype, L’épopée du Normandie-Niémen. Le contenu n’ayant évidemment pas changé, nous vous proposons notre compte-rendu de l’édition de 2007. De ses premiers vols, sur Caudron Luciole, à la promotion « Z » de l’école…
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L’épopée du Normandie-Niémen
De ses premiers vols, sur Caudron Luciole, à la promotion « Z » de l’école de pilotage militaire d’Angers, d’où il sort troisième derrière Jean Maridor, Roland de la Poype finit par réaliser son rêve de gosse : voler comme Fonck, Guynemer, Nungesser et surtout Mermoz son héros. Désireux de suivre le général de Gaulle après la défaite…