En dépit de son titre, cet ouvrage ne peut hélas être pas catalogué « livre d’aviation », tant la part de l’aéronautique y est ténue. Par conséquence, il ne nous est guère possible d’en publier une recension « aéro ». En revanche, nos deux lectrices, Annie Guilhamat et Corinne Micelli, sont formelles : héroïne attachante, synopsis intéressant, paysages magnifiques et faune sauvage. La lecture en est si prenante qu’on y glisse à regret un marque-page si l’on ne veut pas y passer la nuit. Un roman d’excellente facture qui est à recommander, mais dans un tout autre registre que celui de l’aviation.
Nous avons donc pris le parti de proposer à nos lecteurs une critique plus « généraliste » que celles auxquelles vous êtes accoutumés dans nos pages : Sia sur Encres et calames.
L’Aérobibliothèque
758 pages, 14 x 22,5 cm, broché
0,502 kg
– Traduction : Isabelle Chapman